Après la fin de la Seconde Guerre mondiale le Japon avec sa nouvelle constitution règlemente la possession des ***** à feu pour la population civile. La règlementation est tellement stricte qu'il est pour ainsi dire impossible d'avoir une ***** a feu chez soi et encore moins une ***** de guerre dans un but de collection, y compris les ***** neutralisées, qui sont au demeurant les plus chères au monde, la neutralisation coûtant souvent 5 fois le prix de l'***** en elle-même.
Or il y a une forte demande de la part des collectionneurs de posséder des ***** fussent-elles en plastique par manque de moyen ou par manque d'***** neutralisés.
À la fin des années 1960 apparaissent les répliques d'***** coulées en plastique totalement inertes, spécialement pour la collection. Parfois ces répliques étaient faites en résine et métal avec des partie fonctionnelles comme les vraies. Mais pour respecter la législation, ces répliques d'***** étaient conçues et modifiées afin qu'il soit impossible de tirer à balles réelles.
Vers le milieu des années 1970 et en respectant les lois japonaises, imposant l'impossibilité de transformation d'un objet en ***** a feu, des techniciens et ingénieurs débutent la transformation, voir la fabrication, de ces répliques d'***** inertes en répliques d'***** pouvant tirer des projectiles, non dangereux, le tout utilisant de l'air comprimé. Le choix se porte alors immédiatement sur les billes de 6 millimètres.
À cause de la loi japonaise ces "lanceurs" ne peuvent pas développer plus de 2 joules en sortie de canon.
Au vu de l'engouement de certains pour beaucoup de ces "lanceurs répliques d'*****", qui ont les mêmes fonctionnalités que les vrais *****, des jeux opposants deux équipes voient le jour sous le nom de Survival Game ou Wargame.
Les répliques prennent alors le nom d'Airsoft Guns.
Des ingénieurs fort connus encore aujourd'hui sont issus de cette époque, tel Tanio Kobayashi.
un texte qui trainait sur ma machine et hélas je ne peut remercié l'auteur n'ayant pas ses ref.